38 réflexions sur « Ambroisie »

  1. wouah ! Je respire ! J’hume les parfums de la vie ! Quelle est belle !

    Bulles d’oxygène
    Dans le rouge de la vie
    Appel de lumière

    Catherine

  2. Bubble gum et sensations,
    Sang et vibrations,
    Le vin en partage.

    Qui n’a rien à voir : 12 heures de décalage, donc je te quitte faire la sieste….

  3. Ivresses

    J’écoute un sang vermeil chanter
    …Dans les barriques
    …Le cantique des cantiques
    Ivre des arômes du vin à fermenter

    Les globules rouges des vignes
    …Roulent dans mes veines
    …J’oublie mes peines
    L’âme délivrée de ses humeurs malignes

    Des dieux de l’Olympe la sublime Ambroisie
    …Quoiqu’on en dit
    …Je vous le dis
    Du jus de la treille n’a pas la poésie

    Médoc Pomerol Graves Margaux
    …Haut-Brion
    …Saint-Emilion
    Yquem Saint-Estèphe Sauternes crus sans égaux

    A la Fratenité au tranquille bonheur
    ….Levons nos verres
    ….Amis sincères
    Que l’amour règne dans nos coeurs

  4. Rouge, ma couleur préférée !!!
    Très belle photo !!
    Après les gâteaux d’Elisanne, je m’en vais goûter de la confiture de fraise.
    Ambroisie, qu’est ce donc ? je connais pas…
    Vive le Rouge !!!

    Bisous rougis de joie, chère Ossiane,
    OLIVIER

  5. j’aime bien ce qui apparaît à « mes fenêtres »…
    … entre hier et aujourd’hui, quel régal pour les yeux que cette déclinaison des charmes de la vigne !
    merci et belle journée à tous
    Bén

  6. J’ai croqué à pleines dents dans la grappe vermeille
    Ah! le bon moment!

    Et maintenant,

    Je voudrais t’embrasser,
    Partager ce bouquet.

    Candide

  7. Hier ce vert, du vert, ce verre
    Aujourd’hui du rouge, ce rouge
    Les deux ensembles,dans la mémoire
    Ce rouge n’est pas trop vert
    Après la vie qui pousse, la vie qui pétille
    Deux monochromes très nets.

  8. Le vin, la vie, les bulles qui manifestent que « ça » bouge encore, que nous faut-il de plus pour la poésie du matin?

  9. Bonjour, un peu de retard à répondre mais c’est dimanche. Je constate avec plaisir que cette photo sollicite vos neurones;-) Merci.

    >Catherine: Merci beaucoup pour tes trois haïkus qui sont tous un bel hyme à la vie sous toutes ses formes. Ses parfums nous invitent à savoir les saisir au moment où ils se présentent. Bonne après-midi. Je t’embrasse.

    >Annie-Claude: 12h heures de décalage mais un sommeil réparateur en commun puisque pour toi c’est la sieste;-) En tout cas, c’est sympa de nous rejoindre depuis Tahiti pour parler poésie.
    Ton petit haïku est bien senti. Ce rouge profond émet des vibrations de vie. Merci beaucoup, Annie-Claude.

    >Michel: Que d’ivresse et d’amour partagé pour la dive bouteille! Evidemment, l’ambroisie dont je parle et dont tu cites les noms n’a rien à voir avec l’ambroisie des dieux de l’Olympe qui était un nectar à base de miel, je crois. Dites-moi si je me trompe.
    Je lève mon verre en toute amitié avec toi ainsi qu’avec tous les autres visteurs de l’Oeil Ouvert avec qui je partage ces beaux moments de poésie. Merci; je t’embrasse.

    >Olivier: Si c’est ta couleur fétiche, tu tombes bien. Elle s’accorde bien avec l’esprit de ton blog.
    L’ambroisie était le nectar des dieux de l’Olympe et était source d’immortalité.
    On parle aussi d’ambroisie pour une nourriture exquise et suave. Enfin, il faut savoir que c’est une plante utilisée pour faire des infusions. Rouge baiser.

    Lilly: Adorable ton poème mais pas pepsi du tout, my god;-)) Authentiques bulles vineuses de France. Tendres bises bulloises de Saint-Estèphe.

    >Balidar: Ravie de te contenter ;-))Amicalement.

    >Bén: Je te remercie pour tes compliments. J’espère que le reflet de mes prochaines fenêtres qui apparaîtra dans les tiennes te plaira tout autant. Au plaisir de te lire à nouveau.

    >Candide: Un petit nouveau ou nouvelle? Je te souhaite la bienvenue. C’est la gourmandise qui t’a attiré par ici;-) C’est bon de croquer la vie. Merci pour ce bouquet; je t’embrasse en retour. A bientôt.

    >Pierre: Je reonnais le peintre qui parle;-) Tes yeux ont été saisis par le vert et le rouge qui sont deux couleurs complémentaires
    Harmonie de ces deux couleurs qui s’associent pour le meilleur. Merci. Bises pétillantes.

    >Annie-Claude: Tu essaies de trouver un sens caché à cette progression;-) Peut-être y en a-t-il un?
    Quant aux cépages du bordelais, le cabernet sauvignon, merlot, cabernet franc, petit verdot, malbec sont utilisés pour les vins rouges; le sémillon, le sauvignon et la muscadelle sont utilisés pour les vins blancs.
    En ce qui concerne ta définition de l’Oeil Ouvert, elle me convient assez bien 😉 Il vaut mieux privilégier la qualité et avoir du plaisir que la quantité sans éprouver de sensations.

    >Argoul: Je vois que toutes ces vibrations de vie te conviennent pour cette journée dominicale. J’aime bien aussi quand ça bouge; c’est la preuve que tout n’est pas sclérosé. Pardonne mon grand retard dans la lecture de ton blog; je n’arrive plus à suivre. Bon dimanche.

  10. arômes en suspension
    délicatesse des impressions
    un enchantement olfactif
    l’ivresse d’un mouvement furtif

    une émulsion vermeille ou rubis
    des perles de sang béni
    flottons en apesanteur
    bercés par la couleur, l’odeur et la saveur

    portés par cette mélodie
    n’oublions pas l’harmonie
    il serait juste qu’un mets royal
    accompagne ce pèlerinage buccal

    au jardin des délices
    l’ambroisie et l’épice
    seront toujours les douces amies
    des connaisseurs avertis

    mais c’est dans l’abstinence
    que surgiront d’autres fragances
    qui en termes d’importance
    sont mille fois plus intenses

  11. Laissez la robe paraître sur les bords. Regardez-là se déposer lentement, avant d’y déposer vos lèvres. Jeux de dégustations. Plaisir des sens… Ossiane nous invite à la dégustation.

  12. Les dieux de l’Olympe
    Bullent d’immortalité
    Un nectar infusé

    L’altitude comme les profondeurs suscitent parfois quelques ivresses … 🙂

    Belle fin de dimanche sous un soleil un rien « éclipsé » …

  13. A cette invitation,difficile de renoncer,
    de bons mets,du bon vins,que demander de plus ? ah si…il manque l ‘essentiel…

     » Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis… »

  14. >Sonia: Effectivement, la dégustation d’un vin suppose une certaine approche. Il ne sert à rien de se précipiter sur le verre et de l’avaler d’un trait car on se prive des plaisirs de la vue et du nez. On peut donc découvrir la robe dont tu parles pour regarder sa couleur et profondeur, sentir dans un premier temps le premier nez, puis agiter le verre pour faire surgir le deuxième nez. En principe des arômes beaucoup plus subtils et complexes apparaîtront. Il convient ensuite de satisfaire sa bouche mais là je n’entre pas dans les détails. Si parmi vous, certains voudraient en savoir plus, contactez-moi en privé 😉 Bonne soirée Sonia. J’ai un peu débordé.

    >Moleskine: Merci Olivier pour cette délicieuse infusion poétique. Tu en sais quelque chose sur l’ivresse de l’altitude dans ton beau pays savoyard. Bonne soirée au coin du feu peut-être. Bises.

    >Ravi/Francis comme tu préfères: On peut bien sûr partager ce breuvage entre amis autour de bons mets mais ce n’est pas une obligation non plus car si on veut l’apprécier pleinement, il ne faut pas être trop nombreux. Bonne soirée. Je t’embrasse.

  15. Pétillant ce rouge passion 😉 Cette photo est tout simplement magnifique (quelques changements dans l’air en effet Ossiane, je t’ai promis de t’expliquer par mail, je le ferai 😉 bises 😉

  16. De retour, je me suis régalée de voir les photos de ces derniers jours, d’un coup, superbe… et aujourd’hui, à nous de nous ennivrer de mille bulles de rosées….

  17. Ossiane, j’espère que je ne m’égare pas trop… Mais cette photo inspire tant !

    Bijou d’un soir de fiançailles

    D’abord, il lui offrit une coupe de vin
    Comme si c’était son amour en quintessence
    Il voulait, ce soir là, magnifier les sens.
    Il ouvrit pour elle le pays des parfums…

    Puis il porta la coupe à ses lèvres en fleur,
    Religieusement, comme pour un baiser.
    Il voulait voir son doux visage s’embraser.
    Il ouvrit pour elle le pays des douceurs…

    Il n’avait nul bijou promesse à lui offrir
    Mais il connaissait les secrets les plus précieux
    Qui donnent aux femmes les yeux les plus radieux.
    Il ouvrit pour elle le pays des sourires…

    Il n’avait que du vin et de la poésie,
    De l’amour il lui suggérerait l’absolu ;
    Il désirait l’éternité pour son élue.
    Il ouvrit pour elle le pays de la vie…

    Dans le rouge du vin, elle avait vu le rose
    Des bulles, comme des promesses d’infini
    Et quand ils s’aimèrent jusqu’au bout de la nuit,
    Au creux d’elle, elle comprit les diamants roses…

    Catherine

  18. Finalement il était prémonitoire mon haiku d’hier ! Après la vague verte, l’ocean de rouge !
    Très belle photo Ossiane !

    PS : promis, encore une note ce soir et je termine mon instrospection réflechie !

  19. moi ca me fait penser à un monde à l’envers, un decor de science-fiction avec des bulles de verres comme ville. une sorte de foumilière ecarlate.(Je trouve d’ailleurs la couleur un peu inquiétante).

  20. >Leslie: Merci beaucoup pour cette pétillante répartie. Tu vois, j’avais deviné quelque chose:-) Quand tu veux pour les explications. Je t’embrasse.

    >MTO: Toute fraîche et reposée pour te régaler de ces bulles. Merci d’être passée ainsi que pour ta fidélité. Bonne soirée.

    >Catherine: C’est ce que je vois;-)) De la sortie de soirée, tu passes au bijou de fiançailles pour l’amour absolu. Je te taquine un peu;-)
    C’est très bien écrit, original et émouvant. Faire naître l’amour au coeur d’un verre de vin n’était pas chose facile;-) Merci Catherine pour cet élan et bonne soirée.

    Guess Who: Sans doute;-)) Tu sais, je navigue au fil des jours et de vos réactions. Je vous donne à voir mais l’inverse peut se produire également. On se guide mutuellement. Merci pour cet enthousiasme.
    Pour ce qui est de ton introspection, Tiago, je crains que tu aies mal compris mon commentaire. Ca ne me dérange pas du tout, bien au contraire. Tu poses des questions qui ont le mérite de faire réfléchir 😉 Bine à toi et bonne fin de soirée.

    >Au nouveau Michel: J’ai bien compris ta vision SF et j’ai mis mon écran à l’envers pour en effet voir une ville de bulles un peu comme dans Starwars 1, je crois. C’est vrai que dans ce sens et cet esprit-là, le rouge met mal à l’aise et donne envie de fuir. Revenons sur terre car c’est moins angoissant;-)) Merci Michel pour ta contribution. Amitiés.

  21. Hola Ossiane,
    La premiere impression que j’ai eue en jetant un oeil rapide sur la photo et pas encore connecte avec l’atmosphere chaleureuse de ton blog,, ce fut l’inquietude, un peu comme le commentait la personne avant moi…
    Ce n’est qu’apres un moment de reflexion que j’ai realise ce dont il s’agissait, que des pensees les plus positives me sont venues.
    Et maintenant que j’ecris ces lignes alors que je viens de dejeuner, je pense plus qu’a trinquer gentiment avec toi et les les autres fideles, qu’a imaginer dans la torpeur un squelette de martien…
    Je ne regrette qu’une chose… Toute la photo tourne autour du « rouge »… Je crois que j’aurais plus aime quelque chose, une petite touche Ossianienne, pour rompre cette couleur envahissante.

    Je t’adresse une pensee et une bise tres amicales de nos terres Mexicaines qui produisent aussi du vin, mais d’une qualite fort peu comparable aux elixirs du Bordeaulais ou de la Bourgogne…

  22. Ossiane, en fait, dans ce verre de vin, j’ai vu un collier de diamants roses…
    J’ai alors imaginé très facilement un soir de fiançailles où le vin est le seul cadeau que le fiancé puisse offrir. La fiancée, n’aura pas de diamant à son cou, mais recevra bien plus en comprenant en elle les diamants roses. L’éternité d’un frisson ou d’un sourire…
    Catherine

  23. >Alain du Mexique: Je comprends ton premier sentiment. Cela se produit quand on ne sait pas à quoi on s’attend. Me voilà rassurée car je ne cherche pas à vous terrifier. On est dans le monochrome et c’est sans doute plus obsédanr. Dors bien quand même, Alain; je trinque avec toi;-)) Bonne soirée.

    >Catherine: J’avais bien compris pour les diamants roses et c’est une jolie image. En revanche, j’aime bien cette idée du fiancé qui n’offira pas de bijou au sens où on l’entend d’habitude car il ne s’attache pas aux valeurs matérielles.

    >Alain d’Emmaus: Gosh! Moi aussi;-))

  24. En retard, non. Jamais quand il s’agit de parler de vins. Tel ces enfants qui font des bulles de savon, je vois le vigneron faire ces bulles de vin. N’ayez pas peur de les attraper, de les regarder vivre et de les sentir. Vous ferez un premier pas vers la connaissance du vin. Vous partagerez avec ces hommes et ces femmes leur passion pour la vigne. Pour en extraire ce qu’elle a de meilleur. Pour vous le faire partager. Je suis d’accord avec toi Ossiane, il n’est pas nécessaire d’être nombreux pour déguster un vin, mais il faut pour le moins être deux afin de partager toutes les sensations offertes par le vigneron au prix d’un travail souvent méconnu.

  25. >Ckck: Merci beaucoup. J’aime beaucoup m’approcher de cet infiniment petit et lui faire dire autre chose. Décidément, les commentaires sont très gourmands aujourd’hui;-) Bien à toi et à bientôt.

  26. DE gouttes de framboise
    Des gouttes qui salivent
    Des gouttes qui palpitent

    ‘ tes photos sont magnifiques, osseane, et je ne me lasse pas de regarder tes belles images , il me faudra un temps immense pr regarder, lire les haikus, des textes, c’est si beau.. je t’embrasse..’

  27. Et je regarde encore l’écran et elles sont là,et je salive et je les goutte les gouttes….c’est très beau..

  28. Bonsoir Ossiane,

    Je viens de découvrir votre site et j’aime beaucoup nombre de vos photos. Je me suis permis dans mettre deux sur mon blog en indiquant bien sûr qu’elles étaient de vous.

    Ambroisie encadre mon poème Vignes

    Au travers des rochers arides et obèses
    Le soleil mollement inondait mon trajet.
    Sur le sommet des pieds des vignes héraultaises
    Un ciel bancalement titubant se penchait.

    Le train, lancé, rempli de siestes voyageuses,
    Berçait cahin-chaos mille humeurs disparates.
    Immobile passait, simple et délicieuse,
    L’humaine absurdité que l’attente écarlate.

    Comme les croix des cimetières militaires
    Quadrillent le passé de leurs lignes sans fin,
    Traçant des morpions immenses sur la terre
    Des grappes se gorgeaient d’un sang lourd, rouge vain.

    Rassuré, j’écrivais d’inutiles vers tendres.
    Une suave voix tintait à chaque arrêt,
    Beaucoup ouvrait un œil. Voyager ? Vivre, tendre…
    J’avançais vers ailleurs et les raisins poussaient.

    A bientôt peut-être,

    Barück

  29. Sang de la vigne, ébulition
    Titillant chacun des neurones
    Sur mes papilles, pourpres icônes
    Fait s’ouvrir d’autres sensations

    Bé@

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