Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Vitalité
* Lecture du Haïku Calligramme: droite, gauche, centre.
Désir d’Infini, La Vie en Accroche-Coeur, Capter la Lumière.
31 réflexions sur « Vitalité »
Très belle composition !
L’image est le texte, le texte est l’image. Bravo.
Magnifique !!! Je suis d’accord avec Guillaume.
Le mot pur m’appelle…
La suggestion indescriptible…
Impossible d’écrire !
Juste une tentative de haïku :
Danse vers le ciel
Rencontre des harmonies
Force d’infini
Catherine
Une envolée de papillons… Un mot qui me vient à l’esprit ? Romance… Pourtant, non Ossiane… je ne me sens pas spécialement amoureuse en ce moment… mais pleine d’espoir ;-)…une nouvelle vie.
J’ai immédiatement pensé à Jack et le haricot magique, allez savoir pourquoi !
ah!fred et le haricot magique..enfance enfance !
rien n’oblige Fred àsetaire HEUREUSEMENT!(fred ..astaire :>))
quoi? ah bon !ok promis je ne le ferais plus!)
———
VITALITE
Les vrilles exaltées s’élancent vers l’azur
……..désir infini
Cirrhes accroche-coeurs pampres d’un vert si pur
…….douce symphonie
Les flagelles du thyrse fécondent la lumière
……….ardente fertilité
Pour Dionysos dieu de la vigne altière
……..emblème de vitalité
Vitacées,algues fluides d’une mer de verdure
…….silences caressés
Signes mystiques végétales écritures
………amours enlacées
Splendide, Ossiane. Les couleurs, les formes, les textures, les mouvements, tout me plait. Bravo.
Colette déguisée
en vrilles de Vigne
Cerf volant girondais
au nuance des vents auréolés
Ma vitalité est tout juste à 30 %, mon esprit à 50… Encore fatigué..
Mais heureux de te lire, de vous lire !!!
Tiens la feuille de vigne, elle était pas sur le coeur d’Adam et Eve ? on m’aurait menti ? :):)
Un peu de sérieux, tu es chez Ossiane !! ça rigole pas ici, ça poétise, ça philosophe !!!
D’accord, je retourne me reposer…
Bon week-end,
Bises rougies de raisin,
OLIVIER
jaillissement du coeur
comme sorti de la mer, un nageur
ruissellement de perles d’air
retombant élégamment sur terre
tendue vers le ciel
étirant ses ailes
langoureusement voluptueuse
mutine et charmeuse
une ellipse sensorielle
recréée un instant éternel
dans cette spirale de verdure
attirée par l’azur
>Gullaume: Je te souhaite la bienvenue. Je vois que tu as rejoint la blogosphère du Monde. Je te remercie pour ton enthousiasme sur cette note. Reviens quand tu veux nous faire partager tes émotions puisque que ton blog est dédié à la photo. Bon week-end.
>Catherine: Impossible d’écrire et de décrire mais tu réussis quand même à sortir un très joli haïku qui fait la danse du soleil. Je suis contente que cette photo te plaise. Bonne journée.
>Leslie: Belle image que ce vol de papillons. Je te sens nettement plus légère depuis quelque temps. Un déménagement ou un changement de travail peut-être. Ossiane, tais-toi, tu es trop curieuse. Bises.
>Fred: D’humeur enfantine aujourd’hui;-) Je n’ai pas vu ce film mais en principe les haricots grimpent et sont attirés irrésistiblement vers le haut. Merci.
>Michel: Grande vitalité et sensualité dans ton poème. Beaucoup de mots aussi qui me sont inconnus; j’ai dû prendre le dictionnaire;-) Toutes ces vrilles exhaltées s’enlacent et s’élancent vers le ciel sur une danse mystique. Merci; je t’embrasse.
Annie-Claude: Tout me plait dans ce que tu dis également. Merci de veiller si tard pour donner ton sentiment. Mais il est vrai que pour toi au moment tu écris, tu es sans doute en plein jour. Combien d’heures de décalage entre Tahiti et la France?
>Lilly: C’est frais, aérien, ludique. Bref, c’est très aurélien;-) Il n’y a que toi pour écrire comme ça. Tu n’as même pas besoin de signer, je te reconnais. Bises dans le vent.
>Olivier: Ne t’inquiète pas, le baromètre remonte;-) c’est bon signe.
J’avais oublié cette utilisation de la feuille de vigne;-) Ce n’est pas parce que ça poétise à mort qu’on est de tristes sires. Cet exercice doit être fait dans un état d’allégresse. J’aime le mélange des genres. Repose-toi bien et guéris vite.
Bises en vrille.
Une vielle légende raconte que la nuit la vigne se transforme en papillons pour rejoindre les étoiles…
Dans cette série d’images sur la vigne, je trouve qu’il y a un – ou plutôt deux – manques : une bouteille d’un grand cru du médoc au goulot dressé vers le ciel (in vino veritas) et Ossiane en train de trinquer avec un viticulteur du cru le contenu de la dite bouteille…
Elle s’agrippe, la vigne, elle s’accroche, sa poésie est d’enroulement, d’enrôlement de tout ce qui passe à sa portée dans son dessein de vivre et de fructifier. Elle n’est pas fatiguée.
capter la lumière
absorber l’atmosphère
répandre les rayons
gorgés de joie et d’émotion
scintillante et ludique
une symphonie fantastique
de la joaillerie érotique
sur fond d’extase cosmique
s’évaporer en perles fines
se disssoudre dans la galaxie
puis soudain revenir ici
pour caresser un buisson d’aubépine
Arabesques vertes
cachées au fond de ma bouteille
Sachez que je cherche en vain
la lumière et l’ivresse.
Excuse-moi Ossiane si si belles le jour ces feuilles de vignes m’évoquent d’autant plus leurs reflets dans la nuit…
C’est au soir rouge, quand se couche le soleil
Que les feuilles vertes de la vigne se parent
De l’éclat des couleurs d’une robe du soir.
Miroir des étoiles, goutte de lune en éveil…
Tout le jour, elles furent le voile de promesses,
Ces perles de soleil ou ces creux de fontaine
Où l’homme goûte sa joie et oublie sa peine…
Bal diurne au vent de regards et caresses.
Mais c’est à la nuit que leurs accroche-coeurs
Capteront les lumières des harmonies
En montrant la vitalité de l’infini.
Au bal nocturne, elles danseront la splendeur…
Catherine
Tu mérites de t’appeler la demoiselle de Sociando-Mallet.
Mon Dieu…! C’est trop beau!
Comme disent les petits.
Cri du coeur, Ossiane, reproduit tel quel 🙂
La vi(gn)e qui pousse!
>Au nouveau Fred de Toulouse: Bonjour et bienvenue sur ce blog. Tu rejoins l’interprétation de Leslie. C’est intéressant ce que tu dis à propos de cette légende. Ces papillons qui partent en voyage vers les étoiles font rêver. Sais-tu si elle est issue du région particulière?
Reviens quand tu veux, la maison est ouverte. Bien amicalement.
>Roger: Bonjour. Il me semble que tu es intervenu une ou deux fois, non? Merci pour tes suggestions; je vais y réfléchir;-)
Au plaisir de te lire à nouveau.
>Sonia: C’est rare que tu sois si concise;-) Vision brute un peu à la façon de l’ancien Fred. Merci.
>Argoul: C’est très juste de t’attacher à cet aspect d’enroulement. La vigne s’agrippe à tout ce qui passe à sa portée pour ne plus s’arrêter. Tellement inépuisable qu’il faut l’intervention de l’homme pour dompter son développement exhubérant. Bises.
>Guess Who: Merci pour ce poème un peu triste. Je te sens un peu dépité. On peut chercher aussi autre chose que l’ivresse dans un verre de vin. Par exemple, le plaisir des sens et un moment de convivialité à partager en bonne compagnie.
Bises et bon week-end.
>Catherine: La vigne a mis sa tenue de soirée;-) Paillettes, perles, accroche-coeurs sont de mise pour séduire ce soleil prometteur. C’est vrai qu’un paysage de vigne au soleil couchant est toujours très beau. Merci Catherine pour cette parure de vigne d’un samedi soir. Bonne soirée.
>Pierre: Tu réagis comme Sonia aujourd’hui, c’est à dire à la première émotion comme les enfants. Merci beaucoup, c’est touchant;-) Je t’embrasse.
un coeur qui bat
et la lumière va
éclairer nos yeux
nous sommes heureux
et pourtant
si loin de l’infini
nous sommes seul
dans ce monde
ou bien, comment la nature defie les architectes…
Bravo pour cette photo… Once more!
Bises du Mexique
>Michel n°2: Troisième ballon d’essai, merci;-))Eprouver du bonheur en regardant le ciel et se sentir tout petit face à cet infini dont on ne connait pas les limites. Allez Michel, un peu de ressort, on n’est pas tout seul sur ce blog. Regarde tous les commentaires qu’il y a eu aujourd’hui;-)
Bonne fin de soirée. Amicalement.
>Alain du Mexique: Ta remarque est judicieuse et sympathique. La nature n’aime pas être dominée. Merci pour ta visite et bon week-end.
C’est émouvant.
C’est ma recréation, quand je suis un peu trop pris par les activités du quotidien,
je viens me resourcer de ces belles images.
Merci.
Mais une petite question :
» Une vielle légende raconte que la nuit la vigne se transforme en papillons pour rejoindre les étoiles… »
J’aimerais bien connaitre l’origine de cette charmante légende, si quelques fois tu pouvais révèler tes sources.
Bien amicalement,
Francis
>Salade: Elle est pas mal la Demoiselle de Socindo-mallet;-) Tu as goûté?
J’ai essayé de t »envoyer un mail en privé mais mon mail m’& été retourné. Est-ce que ton adresse e-mail est bonne?
>A mon ami Francis B. que j’ai réussi à faire sortir de ses vignes avec le thème de cette semaine;-)) Tu es le bienvenu ici et n’hésite pas à apporter tes lumières et sentiments sur ce sujet puisque c’est ton domaine ainsi que sur tous les autres.
En ce qui concerne la vieille légende que je trouve également très jolie, j’ai envoyé un mail à Fred de Toulouse pour essayer d’en savoir plus.
Les vendanges sont terminées pour toi; profite de ce dimanche pour prendre un peu de repos. Amitiés.
Bonjour,
Bonjour Ossiane,
Tout d’abord, n’étant pas encore un blogeur averti, je me suis adressé à toi concernant
la légende…
mais bon, je m’étais pas apperçu que l’intitulé de l’expéditeur était le précédent ou le suivant.
Enfin, quoi je m’étais trompé d’étage.
Je n’avais pas sonné à la bonne porte.
Pardon.
Que nenni, je ne visite pas exlusivement les pages, les thèmes, les billets vigne et vin…
J’apprécie aussi tes belles images sur la MER … l’eau, le sable, le vent, la lumière, le granit, le roc, les galets … les bleus, les jaunes et les verts des algues, des ajoncs, …
Image … ce n’est pas péjoratif…
I mage : c’est la magie de la photo et des textes qui accompagnent.
Il reste I, pour la partie Imagination.
A bientôt,
Amitiés,
Francis
>Francis B.: Pas grave pour l’erreur d’aiguillage;-) La légende m’avait interpellée également. Je n’ai toujours pas de nouvelles à ce sujet.
C’est vraiment gentil à toi d’avoir pris le temps de visiter mon domaine;-) Je suis très touchée que tu apprécies ces photos de nature.
Très poétique et subtil ton décryptage du mot Image. Je n’y avais pas pensé;-) N’hésite pas à venir faire partager ton sentiment directement sur la note du jour. Tout le monde est très cordial. Amitiés au Vigneron/Artiste/Poète.
>Charly: Je crois déceler chez toi un certain amour pour le vin, non? Tu as raison, il faut l’approcher avec respect et douceur surtout quand on sait la somme de travail, d’incertitude et de soucis que ce breuvage a nécessité. Il est vrai qu’il est mieux de le partager au moins à deux. Amitiés.
Vert-vigne
Ciel-bleu
Antennes graciles
Calme aérien des yeux
Coucou Nina:-) Retour de voyage puisque tu as choisi le titre de cette note pour t’exprimer;-) Merci mour ce joli poème plein de simplicité et de délicatesse. C’est bien senti. je t’embrasse.
A ma connaissance (et celle de mes proches après sondage), il n’existe pas de légende…mais tel le conteur, avec des subterfuges comme « il paraît même que certains ont vu », ou des « il y a fort longtemps »,
ou encore « une ancienne légende oubliée raconte »,
j’ai introduit ma façon d’interpréter cette photo…
Je vous rapporte, parmi les nombreuses réponses que j’ai reçues de mon entourage, les deux qui ont ma préférence :
« …Nous avons trouvé la question digne d’intérêt mais nous n’avons aucune information sur cette légende. Une solution possible serait de passer une nuit étoilée dans une vigne accompagné de la dive bouteille…
Etoilement tien… »
Christian F.
« OUI, lorsque sacrifiant à Bacchus, embrumés de vapeurs éthyliques,
l’occiput encombré de pachydermes turbulents, nous vîmes le pampre sacré se muer en lépidoptères iridescents qui s’envolèrent vers de lointaines galaxies… Quelle mufflée ! »
Jean-Jacques A.
Bonjour Fred, je vois que tu t’es drôlement investi à propos de la question que je t’avais posée sur cette jolie légende;-) C’est très gentil à toi. Bon choix de ta part. La première interprétation est invitante;-) La deuxième très bien troussée met tout sur le dos de la dive bouteille;-) Finalement, Ce n’est pas si grave de ne pas connâitre l’origine de la légende; le principal est qu’elle nous a fait rêver.
Bien à toi et merci encore. Au plaiisr de te lire à nouveau.
Très belle composition !
L’image est le texte, le texte est l’image. Bravo.
Magnifique !!! Je suis d’accord avec Guillaume.
Le mot pur m’appelle…
La suggestion indescriptible…
Impossible d’écrire !
Juste une tentative de haïku :
Danse vers le ciel
Rencontre des harmonies
Force d’infini
Catherine
Une envolée de papillons… Un mot qui me vient à l’esprit ? Romance… Pourtant, non Ossiane… je ne me sens pas spécialement amoureuse en ce moment… mais pleine d’espoir ;-)…une nouvelle vie.
J’ai immédiatement pensé à Jack et le haricot magique, allez savoir pourquoi !
ah!fred et le haricot magique..enfance enfance !
rien n’oblige Fred àsetaire HEUREUSEMENT!(fred ..astaire :>))
quoi? ah bon !ok promis je ne le ferais plus!)
———
VITALITE
Les vrilles exaltées s’élancent vers l’azur
……..désir infini
Cirrhes accroche-coeurs pampres d’un vert si pur
…….douce symphonie
Les flagelles du thyrse fécondent la lumière
……….ardente fertilité
Pour Dionysos dieu de la vigne altière
……..emblème de vitalité
Vitacées,algues fluides d’une mer de verdure
…….silences caressés
Signes mystiques végétales écritures
………amours enlacées
Splendide, Ossiane. Les couleurs, les formes, les textures, les mouvements, tout me plait. Bravo.
Colette déguisée
en vrilles de Vigne
Cerf volant girondais
au nuance des vents auréolés
Ma vitalité est tout juste à 30 %, mon esprit à 50… Encore fatigué..
Mais heureux de te lire, de vous lire !!!
Tiens la feuille de vigne, elle était pas sur le coeur d’Adam et Eve ? on m’aurait menti ? :):)
Un peu de sérieux, tu es chez Ossiane !! ça rigole pas ici, ça poétise, ça philosophe !!!
D’accord, je retourne me reposer…
Bon week-end,
Bises rougies de raisin,
OLIVIER
jaillissement du coeur
comme sorti de la mer, un nageur
ruissellement de perles d’air
retombant élégamment sur terre
tendue vers le ciel
étirant ses ailes
langoureusement voluptueuse
mutine et charmeuse
une ellipse sensorielle
recréée un instant éternel
dans cette spirale de verdure
attirée par l’azur
>Gullaume: Je te souhaite la bienvenue. Je vois que tu as rejoint la blogosphère du Monde. Je te remercie pour ton enthousiasme sur cette note. Reviens quand tu veux nous faire partager tes émotions puisque que ton blog est dédié à la photo. Bon week-end.
>Catherine: Impossible d’écrire et de décrire mais tu réussis quand même à sortir un très joli haïku qui fait la danse du soleil. Je suis contente que cette photo te plaise. Bonne journée.
>Leslie: Belle image que ce vol de papillons. Je te sens nettement plus légère depuis quelque temps. Un déménagement ou un changement de travail peut-être. Ossiane, tais-toi, tu es trop curieuse. Bises.
>Fred: D’humeur enfantine aujourd’hui;-) Je n’ai pas vu ce film mais en principe les haricots grimpent et sont attirés irrésistiblement vers le haut. Merci.
>Michel: Grande vitalité et sensualité dans ton poème. Beaucoup de mots aussi qui me sont inconnus; j’ai dû prendre le dictionnaire;-) Toutes ces vrilles exhaltées s’enlacent et s’élancent vers le ciel sur une danse mystique. Merci; je t’embrasse.
Annie-Claude: Tout me plait dans ce que tu dis également. Merci de veiller si tard pour donner ton sentiment. Mais il est vrai que pour toi au moment tu écris, tu es sans doute en plein jour. Combien d’heures de décalage entre Tahiti et la France?
>Lilly: C’est frais, aérien, ludique. Bref, c’est très aurélien;-) Il n’y a que toi pour écrire comme ça. Tu n’as même pas besoin de signer, je te reconnais. Bises dans le vent.
>Olivier: Ne t’inquiète pas, le baromètre remonte;-) c’est bon signe.
J’avais oublié cette utilisation de la feuille de vigne;-) Ce n’est pas parce que ça poétise à mort qu’on est de tristes sires. Cet exercice doit être fait dans un état d’allégresse. J’aime le mélange des genres. Repose-toi bien et guéris vite.
Bises en vrille.
Une vielle légende raconte que la nuit la vigne se transforme en papillons pour rejoindre les étoiles…
Dans cette série d’images sur la vigne, je trouve qu’il y a un – ou plutôt deux – manques : une bouteille d’un grand cru du médoc au goulot dressé vers le ciel (in vino veritas) et Ossiane en train de trinquer avec un viticulteur du cru le contenu de la dite bouteille…
Salut et fraternité
R.F.
http://rogerfelts.blog.lemonde.fr/rogerfelts/
Tout simplement magnifique…
Elle s’agrippe, la vigne, elle s’accroche, sa poésie est d’enroulement, d’enrôlement de tout ce qui passe à sa portée dans son dessein de vivre et de fructifier. Elle n’est pas fatiguée.
capter la lumière
absorber l’atmosphère
répandre les rayons
gorgés de joie et d’émotion
scintillante et ludique
une symphonie fantastique
de la joaillerie érotique
sur fond d’extase cosmique
s’évaporer en perles fines
se disssoudre dans la galaxie
puis soudain revenir ici
pour caresser un buisson d’aubépine
Arabesques vertes
cachées au fond de ma bouteille
Sachez que je cherche en vain
la lumière et l’ivresse.
Excuse-moi Ossiane si si belles le jour ces feuilles de vignes m’évoquent d’autant plus leurs reflets dans la nuit…
C’est au soir rouge, quand se couche le soleil
Que les feuilles vertes de la vigne se parent
De l’éclat des couleurs d’une robe du soir.
Miroir des étoiles, goutte de lune en éveil…
Tout le jour, elles furent le voile de promesses,
Ces perles de soleil ou ces creux de fontaine
Où l’homme goûte sa joie et oublie sa peine…
Bal diurne au vent de regards et caresses.
Mais c’est à la nuit que leurs accroche-coeurs
Capteront les lumières des harmonies
En montrant la vitalité de l’infini.
Au bal nocturne, elles danseront la splendeur…
Catherine
Tu mérites de t’appeler la demoiselle de Sociando-Mallet.
Mon Dieu…! C’est trop beau!
Comme disent les petits.
Cri du coeur, Ossiane, reproduit tel quel 🙂
La vi(gn)e qui pousse!
>Au nouveau Fred de Toulouse: Bonjour et bienvenue sur ce blog. Tu rejoins l’interprétation de Leslie. C’est intéressant ce que tu dis à propos de cette légende. Ces papillons qui partent en voyage vers les étoiles font rêver. Sais-tu si elle est issue du région particulière?
Reviens quand tu veux, la maison est ouverte. Bien amicalement.
>Roger: Bonjour. Il me semble que tu es intervenu une ou deux fois, non? Merci pour tes suggestions; je vais y réfléchir;-)
Au plaisir de te lire à nouveau.
>Sonia: C’est rare que tu sois si concise;-) Vision brute un peu à la façon de l’ancien Fred. Merci.
>Argoul: C’est très juste de t’attacher à cet aspect d’enroulement. La vigne s’agrippe à tout ce qui passe à sa portée pour ne plus s’arrêter. Tellement inépuisable qu’il faut l’intervention de l’homme pour dompter son développement exhubérant. Bises.
>Guess Who: Merci pour ce poème un peu triste. Je te sens un peu dépité. On peut chercher aussi autre chose que l’ivresse dans un verre de vin. Par exemple, le plaisir des sens et un moment de convivialité à partager en bonne compagnie.
Bises et bon week-end.
>Catherine: La vigne a mis sa tenue de soirée;-) Paillettes, perles, accroche-coeurs sont de mise pour séduire ce soleil prometteur. C’est vrai qu’un paysage de vigne au soleil couchant est toujours très beau. Merci Catherine pour cette parure de vigne d’un samedi soir. Bonne soirée.
>Pierre: Tu réagis comme Sonia aujourd’hui, c’est à dire à la première émotion comme les enfants. Merci beaucoup, c’est touchant;-) Je t’embrasse.
un coeur qui bat
et la lumière va
éclairer nos yeux
nous sommes heureux
et pourtant
si loin de l’infini
nous sommes seul
dans ce monde
ou bien, comment la nature defie les architectes…
Bravo pour cette photo… Once more!
Bises du Mexique
>Michel n°2: Troisième ballon d’essai, merci;-))Eprouver du bonheur en regardant le ciel et se sentir tout petit face à cet infini dont on ne connait pas les limites. Allez Michel, un peu de ressort, on n’est pas tout seul sur ce blog. Regarde tous les commentaires qu’il y a eu aujourd’hui;-)
Bonne fin de soirée. Amicalement.
>Alain du Mexique: Ta remarque est judicieuse et sympathique. La nature n’aime pas être dominée. Merci pour ta visite et bon week-end.
C’est émouvant.
C’est ma recréation, quand je suis un peu trop pris par les activités du quotidien,
je viens me resourcer de ces belles images.
Merci.
Mais une petite question :
» Une vielle légende raconte que la nuit la vigne se transforme en papillons pour rejoindre les étoiles… »
J’aimerais bien connaitre l’origine de cette charmante légende, si quelques fois tu pouvais révèler tes sources.
Bien amicalement,
Francis
>Salade: Elle est pas mal la Demoiselle de Socindo-mallet;-) Tu as goûté?
J’ai essayé de t »envoyer un mail en privé mais mon mail m’& été retourné. Est-ce que ton adresse e-mail est bonne?
>A mon ami Francis B. que j’ai réussi à faire sortir de ses vignes avec le thème de cette semaine;-)) Tu es le bienvenu ici et n’hésite pas à apporter tes lumières et sentiments sur ce sujet puisque c’est ton domaine ainsi que sur tous les autres.
En ce qui concerne la vieille légende que je trouve également très jolie, j’ai envoyé un mail à Fred de Toulouse pour essayer d’en savoir plus.
Les vendanges sont terminées pour toi; profite de ce dimanche pour prendre un peu de repos. Amitiés.
Bonjour,
Bonjour Ossiane,
Tout d’abord, n’étant pas encore un blogeur averti, je me suis adressé à toi concernant
la légende…
mais bon, je m’étais pas apperçu que l’intitulé de l’expéditeur était le précédent ou le suivant.
Enfin, quoi je m’étais trompé d’étage.
Je n’avais pas sonné à la bonne porte.
Pardon.
Que nenni, je ne visite pas exlusivement les pages, les thèmes, les billets vigne et vin…
J’apprécie aussi tes belles images sur la MER … l’eau, le sable, le vent, la lumière, le granit, le roc, les galets … les bleus, les jaunes et les verts des algues, des ajoncs, …
Image … ce n’est pas péjoratif…
I mage : c’est la magie de la photo et des textes qui accompagnent.
Il reste I, pour la partie Imagination.
A bientôt,
Amitiés,
Francis
>Francis B.: Pas grave pour l’erreur d’aiguillage;-) La légende m’avait interpellée également. Je n’ai toujours pas de nouvelles à ce sujet.
C’est vraiment gentil à toi d’avoir pris le temps de visiter mon domaine;-) Je suis très touchée que tu apprécies ces photos de nature.
Très poétique et subtil ton décryptage du mot Image. Je n’y avais pas pensé;-) N’hésite pas à venir faire partager ton sentiment directement sur la note du jour. Tout le monde est très cordial. Amitiés au Vigneron/Artiste/Poète.
>Charly: Je crois déceler chez toi un certain amour pour le vin, non? Tu as raison, il faut l’approcher avec respect et douceur surtout quand on sait la somme de travail, d’incertitude et de soucis que ce breuvage a nécessité. Il est vrai qu’il est mieux de le partager au moins à deux. Amitiés.
Vert-vigne
Ciel-bleu
Antennes graciles
Calme aérien des yeux
Coucou Nina:-) Retour de voyage puisque tu as choisi le titre de cette note pour t’exprimer;-) Merci mour ce joli poème plein de simplicité et de délicatesse. C’est bien senti. je t’embrasse.
A ma connaissance (et celle de mes proches après sondage), il n’existe pas de légende…mais tel le conteur, avec des subterfuges comme « il paraît même que certains ont vu », ou des « il y a fort longtemps »,
ou encore « une ancienne légende oubliée raconte »,
j’ai introduit ma façon d’interpréter cette photo…
Je vous rapporte, parmi les nombreuses réponses que j’ai reçues de mon entourage, les deux qui ont ma préférence :
« …Nous avons trouvé la question digne d’intérêt mais nous n’avons aucune information sur cette légende. Une solution possible serait de passer une nuit étoilée dans une vigne accompagné de la dive bouteille…
Etoilement tien… »
Christian F.
« OUI, lorsque sacrifiant à Bacchus, embrumés de vapeurs éthyliques,
l’occiput encombré de pachydermes turbulents, nous vîmes le pampre sacré se muer en lépidoptères iridescents qui s’envolèrent vers de lointaines galaxies… Quelle mufflée ! »
Jean-Jacques A.
Bonjour Fred, je vois que tu t’es drôlement investi à propos de la question que je t’avais posée sur cette jolie légende;-) C’est très gentil à toi. Bon choix de ta part. La première interprétation est invitante;-) La deuxième très bien troussée met tout sur le dos de la dive bouteille;-) Finalement, Ce n’est pas si grave de ne pas connâitre l’origine de la légende; le principal est qu’elle nous a fait rêver.
Bien à toi et merci encore. Au plaiisr de te lire à nouveau.