Lande de Bruyère

Sur le Sol Légendaire, Fouler le Tapis de Bruyère, Marcher au bout de la Terre, Plonger dans la Mer Buissonnière, Se Baigner dans L'Océan de Lumière.

Sur le Sol Légendaire, Fouler le Tapis de Bruyère, Marcher au bout de la Terre, Plonger dans la Mer Buissonnière, Se Baigner dans L'Océan de Lumière.

* Lecture du Calligramme: de haut en bas.

Sur le Sol Légendaire
Fouler le Tapis de Bruyère,
Marcher au bout de la Terre
Plonger dans la Mer Buissonnière,
Se Baigner dans L’Océan de Lumière.

* Photo prise sur la Presqu’île de Crozon dans le Finistère. Au loin, la rade de Brest.

29 réflexions sur « Lande de Bruyère »

  1. Impressionnante impressionniste,Ossiane!
    J’aime la « mer buissonière » que tu nous chante…
    merci :o)

  2. Toi aussi Emma, tu es impressionnante. Tu as souvent le mot juste pour décrire ce que tu ressens. Bises.

  3. >Michel-Jean: Les paysages de cette belle presqu’île ressemblent effectivement aux paysages d’Irlande. Apparemment, tu y es allé et tu as peut-être envie d’y retourner.

  4. J’y suis allée et maintes fois…cap de la chèvre…c’est un peu le bout du monde et peu pollué par le tourisme!Ouf!
    Là il faut évoquer Chateaubriand…quoique lui c’était plutôt vers St Malo!

  5. Un rêve !!! marcher dans la bruyère,
    ou dans un lieu de silencieuse nature,
    Méditer, en revenir plus mature,
    Merci Ossiane pour cette prière !!!

    Bises,
    et merci,
    OLIVIER

  6. Un promeneur solitaire se promenait sur les landes quand il rencontra un arbre solitaire.
    Arbre solitaire  » Au secours, je suis tout seul parmi toute cette bruyère. Même la blogostar ne parle pas de moi …. pourtant elle a fait des panoramiques magnifiques des faux de Verzy. Je sais que je suis moins beau et tout petit mais j’ai autant besoin d’amitié que les arbres qui sont grands et beaux. Alors s’il te plaît sois mon ami.
    Le promeneur solitaire : D’accord je serai ton ami.
    And guess what …. le petit arbre est devenu grand et majestueux 🙂 🙂

  7. Bien joli ton conte, Judith! il a vite grandi ton petit arbre…
     » L’or des genêts et la pourpre des bruyères emplissaient mes yeux d’un luxe qui touchait mon coeur » (J.J Rousseau pour moi le plus grand poète du XVIIIème siècle…)

  8. Merci pour cette mer buissonnière et cet océan d’où je suis ressorti en habits de lumière, voici exactement 44 ans… Oui, c’est aujourd’hui mon anniversaire !!!

  9. >Chris: tu connais donc un bout de Bretagne 😉 Tu as raison, c’est le bout du monde et pas de pollution visuelle ou olfactive.

    >Ravi: En peu de mots, tu as réussi à extraire ce que peut signifier cet espace ouvert.

    >Olivier: Tu t’y vois déjà Olivier! En plus ces teintes pourpres évoquent la méditation que tu affectionnes. Bises à toi.

    >Aurélie: Aaaah! J’en reste baba de cette métamorphose. C’est beau. Ca va mieux aujourd’hui? Bisous affectueux.

    >Judith: C’est vrai, il y a ce petit et jeune sapin qui reste tout seul dans son coin et que je n’ai pas expoité. Tu l’as fait très bien à ma place. Grâce à la main qui s’est tendue, l’arbre a opéré sa mue.
    Merci ma bonne amie.

  10. > Fraise: Bonjour et merci pour ces beaux vers. Tout notre blogoclub se joint à moi pour de souhaiter un joyeux anniversaire tout en lumière. Amicalement.

    > Il dit de jolies choses Jean-Jacques Rousseau, Chris. Merci pour ton bouquet de bruyère. Bises.

  11. >Double Jeu/ Malcontenta: Merci. Je viens d’aller revoir ton site. On a pas mal de pôles d’intérêts communs. A bientôt.

  12. Vraiment une belle photo, Ossiane !
    Et tous ces jolis poèmes qui vont si bien avec!
    Bonne soirée à toi et à tous ceux qui visitent le blog,
    je reviens demain matin,
    (suis impatiente de découvrir de nouvelles merveilles !)

  13. Bonjour Nina. Quel joli prénom tu as.
    Tu es la bienvenue ici et je suis très sensible à tes compliments. Au plaisir de te lire à nouveau et de partager nos discussions. Amicalement.

  14. Super Oeil, Pierre. Tu as remarqué que je faisais une semaine aux couleurs de l’Améthyste 😉
    Si tu as envie, il faut donner un coup de main à François chez Osiris.
    Amitiés.

  15. Bonjour Marie et bienvenue ici. Je te remercie pour ton gentil commentaire. Dommage que le lien de ton blog ne marche pas. Au plaisir de te revoir.

  16. J’adore la photo et je pense que le poeme est super! J’aime les couleurs violettes et vertes, et la mer est formidable. J’aime aussi les phrases du poeme « Plonger dans la Mer Buissonnière, Se Baigner dans L’Océan de Lumière. » ils sont beaux car Ils coulent ensemble comme une riviere de mots.

  17. Les genets

    Tout est calme sur la terre chacun retient son souffle
    le silence est total et dans ce vide sonore
    un orchestre de cuivres commence à émettre
    quelques notes inspirées que dirige le vent
    comme le parfum diffus d’une lande sauvage

    Alain

  18. C’est un endroit ou naissent les rêves…Le temps passe..on est à ses côtés..on lui parle..on le freine..on dépose les heures..les jours..les secondes sur le bord du chemin..et on garde l’instant..Celui que l’on trouve sur les lèvres entre ouvertes..une clairière..le regard d’un enfant..une terrasse d’un café..la mer et ses lisières..le souffle d’un été..l’ombre d’un corps sage..On n’egrenne plus les heures et ses secondes..on laisse le jour se poser sur les persiennes..on donne aux années ses habits de lumière..on savoure le présent et on l’offre aux âmes pressées..Le temps s’est échoué sur la lande..il flirte avec les vagues et ses soleils..les courbes et les visages..l’avenir et la bruyère…
    Les rêves s’envolent..

  19. La douceur des mots
    les bien nommés de la vie
    ils se prononcent doucement
    au fil des jours au fil du temps
    la parole nue sans prétention
    celle qui vous vient du cœur
    qui résonne comme un chant
    le soir à la tombée du jour
    elle vous revient comme un refrain
    une sonate non oubliée tant aimée
    trois petits points, un long silence
    et une pure et simple beauté poétique
    dans un murmure entre deux rêves

    merci Pierre c’est du bonheur

  20. Merci Pierre b et Monique. ..

    C’est du bonheur
    Quand le ruban des mots
    Découvre des goûts de miel
    Une couleur tendre
    Une étoffe si douce et soyeuse
    Ses papotis si craquotant l oreille
    La vie qui se mange de l interieur

  21. Les mots effleurent
    Les pensées se tissent
    Les images s’alignent
    Une rêverie en trois petits points

    Merci Pierre b, Monique, Annick

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